Depuis plusieurs jours l’harmonie au sein du conseil communal à Kandi est entachée.  Zinatou ALAZI OSSEINI et plusieurs ne parle pas le même langage. La confiance s’effrite et la première session ordinaire de l’année 2024 boycottée. Le démon de la division

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Entre les 29 élus communaux il y a désaccord. Ils ne parlent plus le même langage. Zinatou ALAZI OSSEINI n’est plus aux anges. La gestion de la mairesse est décriée. L’harmonie saluée depuis un moment au sein du groupe s’est transformé. Des remous prennent le pas sur la cohésion et la mairesse perd le soutien de l’ensemble. Aussi bien certains élus FCBE qui l’ont porté au perchoir que d’autres de ceux qui l’ont coopté  au sein de l’UPR, Zinatou OSSENI ne bénéficie plus de la confiance totale de la majorité.

Les dissidents à la gérance de la mairesse lui reprochent une opacité dans la gestion caractérisée entre autre par ‘’la rétention de l’information’’ et ‘’ la non considération des élus’’. Selon plusieurs élus qui ont souhaité, pour l’instant garder, l’anonymat plusieurs faits illustres leurs dissidences. ‘’ La mairesse a cessé de nous associer à des prises de décisions. Les informations nous cachées et nous ne saurons taire notre désapprobation. Vous allez constater que dans cette expression les appartenances politiques ne sont pas de mire. Nous révélons nos mécontents par amour pour la commune. Notre détermination pour le développement de notre chère commune Kandi nous oblige à sortir de nos gongs’’ a confié un élu dissident.

Les argumentaires exposés ne sont pas reconnus par un autre groupe. La concernée ne perçoit pas les accusations de la même façon et le conflit lancé. Si ce qui préoccupe les élus restent la qualité de leur collaboration en interne, il reste que la population, elle, se soucie du retour des vieux démons. Partout et à différents endroits, le débat se pose. Vers une troisième tentative de destitution ? La question est entière.

A mi-mandat, la mandature Zinatou ALAZI peine. Les élus de la quatrième  mandature  en discorde, chacun  va de ses arguments. Ce n'est pas une première. Prochains épisodes à suivre.