Une vingtaine d’année de professionnalisme distingué. 

YAYA MIDOU SEIDOU vient d’être distingué par EWA AFRIKA. Son attachement de deux décennies  à la plume et au micro est ainsi reconnu. L’ONG récompense la mordante plume  à travers la catégorie communication.

Journaliste Culturel, Critique d’art de scène le récipiendaire n’a pas cessé de promouvoir la culture de son pays. La dextérité dans le choix des expressions et mots, la sagesse qui a toujours caractérisé ses interventions et le professionnalisme dont il fait montre, contraigne les dénicheurs à le révéler au grand jour.

Chargé des programmes, Reporters, Rédacteur en Chef, Directeur de Radio et aujourd’hui Promoteur d’une Entreprise de Presse en ligne, YAYA MIDOU SEIDOU aura tout côtoyé dans le monde de la presse. Son ancrage dans la sphère des médias (20 ans bientôt), son amour et sa passion pour le métier (pas un seul mois d’abandon) ont très tôt orienté son attachement aux valeurs citoyennes.

Avec sa Plume légère, parfois incisive et toujours dissuasive, à travers ses élocutions  réconfortantes et instructives, YAYA MIDOU SEIDOU n’a cessé de prôner et de travailler à la culture de la paix au sein et pour les nombreux lecteurs et auditeurs. Nul doute que l’ONG a déniché un ’’Baobab’’ caché dans son septentrion natif.

La distinction reste, aux dires des organisateurs, une reconnaissance, une prime à un effort silencieux. Il est temps de ressortir au grand jour, ce qui est merveille et caché ont fait savoir les organisateurs. Si le récipiendaire n’est pas le plus ancien professionnel des médias encore en activité dans l’Alibori, il aura en tout cas vu venir dans la corporation ou formé plusieurs de ceux qui aujourd’hui animent des organes de presse.

« C’est une grâce que de recevoir une distinction inattendue. C’est une surprise que de voir que mes agissements sont suivis depuis des centaines de kilomètres » a laissé entendre le distingué avant de verser une masse de remerciement sur les responsables de l’ONG, un grand merci à son grand frère KANDISSOUNON FIDELE, le grand styliste de son état, par qui l’ONG est passé pour le joindre.  « Pour moi, la distinction reste une épée au-dessus de ma tête pour m’obliger à faire davantage surtout à réaliser mon projet de consolidation de mon Entreprise de Presse notamment ANFANI MEDIAS. Journaliste je suis, journaliste je reste. Les trophées EWAKA aiguise ma conviction et me perfuse l’énergie nécessaire » a dit celui-là qui pue une expérience journalistique avérée.